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La Bretéchelle - Non à la fermeture d'une classe
Le Maire, les élus, les enseignants et les parents d’élèves se sont rassemblés devant l’école La Bretéchelle pour protester contre les fermetures de classes arbitraires décidées par l’Etat !
Le jeudi 29 juin, à l'heure de la rentrée ds classes, le Maire, les élus, les enseignants et les parents d’élèves se sont rassemblés devant l’école La Bretéchelle pour protester contre les fermetures de classes arbitraires décidées par l’Etat !
Le Maire, Philippe Guiguen, Christiane Bontemps, adjointe au Maire déléguée à l’éducation et à la petite enfance et Fabienne Vaugarny, conseillère municipale référente du Conseil de quartier Ouest étaient aux côtés des enseignants et des parents d’élèves lors de la mobilisation contre les fermetures de classes qui doivent être annoncées cette semaine par l’Education nationale sur la commune des Clayes-sous-Bois.
Une décision arbitraire que contestent fortement les associations de parents d’élèves, soutenues par le Maire, Philippe Guiguen.
Philippe Guiguen, Maire des Clayes-sous-Bois :
« Je ne peux que déplorer, une nouvelle fois, les décisions arbitraires de l’Etat, impactant directement la vie de la commune. L’Education Nationale doit en effet faire part de fermetures de classes sur la commune dans les prochains jours.
Trois écoles (La Bretéchelle - maternelle, Henri Prou - maternelle, et René Coty - élémentaire) sont directement impactées par ces mesures, jugées pour le moins inadaptées aux besoins des enfants sur le secteur. Dans le même temps, les propositions de créations de classes sont également remises en cause. Les écoles Marcel Pagnol et Paul Langevin sont ainsi directement concernées par ces décisions.
Malgré de nombreux échanges, l’Inspection Académique n’a pas tenu compte des différents arguments que nous avons portés à leur connaissance.
Je suis totalement en appui des parents d’élèves. Je conçois que l’Education Nationale rencontre des difficultés pour recruter des enseignants, mais ça ne doit pas être une variable d’ajustement. On ne peut pas prendre ce type de décisions sur de seules bases mathématiques. Le bien-être et la qualité d’apprentissage de nos enfants sont réellement en jeu. »
Les associations de parents d’élèves se sont déjà mobilisées pour faire entendre leur mécontentement. Depuis le lundi 26 juin, plus de 450 signatures ont déjà été récoltées sur la pétition, créée pour l’occasion. Par cette action, les signataires espèrent obtenir rapidement un rendez-vous à l’Inspection Académique pour argumenter en faveur du maintien et des ouvertures de classes, envisagées il y a encore quelques mois.
Restons mobilisés !
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